C'est ici : http://videos.tf1.fr/infos/2010/regionales-huchon-duflot-et-pecresse-guerroient-5682036.html
Les propositions d'Alain Dolium, candidat du Modem, plutôt à l'aise pour un "débutant", sont pleines de bon sens...
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C'est ici : http://videos.tf1.fr/infos/2010/regionales-huchon-duflot-et-pecresse-guerroient-5682036.html
Les propositions d'Alain Dolium, candidat du Modem, plutôt à l'aise pour un "débutant", sont pleines de bon sens...
Les têtes de liste régionales avaient été validées fin 2009 suite à la consultation nationale des adhérents.
Une seconde consultation qui visait à valider les 2 premiers noms pour chaque département, vient de s'achever.
Le vote proposait d'approuver, de ne pas approuver, ou de voter blanc pour les 2 premiers noms de chaque département d'une région.
Les résultats en pourcentages sont ci-dessous (on peut cliquer sur l'image pour la voir en plus grand)
En Ile de France, comme dans la plupart des régions (sauf la Picardie), le oui l'emporte largement. Et ce malgré les nombreux remous qui ont fait la une de la presse.
Et en Ile de France, malgré la démission, à la veille du scrutin, du président du Modem 92, à la fois de son poste de président du 92, et du Modem, démission qu'il a justifiée à l'ensemble des adhérents du 92 (3000 selon une lettre envoyée à F. Bayrou fin 2009), dans sa "dernière lettre en tant que président du Modem 92".
Espérons en tout cas que maintenant, la campagne va enfin pouvoir commencer plus sainement et sereinement derrière Alain Dolium, qui a bien des atouts à faire connaître, et progresse à chacune de ses apparitions publiques.
G20, G77, G2... Lula, le président brésilien, a comparé les dirigeants du sommet de Copenhague à des marchands, marchands de pétrole (de production de CO2) mais peut être aussi marchands de réduction de CO2 (green business) ?
Il y a des intérêts mercantiles, il ne faut pas s'en cacher car le moteur du capitalisme est avant tout le profit, en tout cas pour l'instant. Mais ce sommet démontre s'il en était besoin que l'intérêt général ne résulte pas forcément de la somme d'intérêt particuliers. Et que pour gouverner l'humanité, il faut trouver un représentant légitime de l'humanité toute entière (les générations actuelles et futures). Des discussions multi-latérales ne suffisent peut être pas. Enorme chantier.
Vaccin ou pas vaccin ? Chacun reste libre, mais la psychose est probablement très exagérée, une vraie publicité pour les vaccins avec comme argument principal, comme trop souvent de nos jours, la peur.
Je ne manque pas de m'interroger, cependant, et ce sans douter de la bonne foi de notre ministre de la Santé, sur une possible corrélation entre la profession d'origine de cette dernière et sa politique de santé: demandez à une pharmacienne de résoudre un problème, elle vous propose une solution... de pharmacienne.
Dommage que notre ministre de la santé ne soit pas Nicolas Hulot, il aurait peut être organisé des voyages en hélicoptère vers l'Antarctique pour fuir la pandémie ?
Si l'impact du CO2 sur le réchauffement climatique est affirmé par une majorité de scientifiques, même les "sceptiques" du réchauffement comme Claude Allègre s'accordent à dire qu'il faut lutter contre l'augmentation du taux de CO2 dans l'air, ne serait-ce qu'à cause de son effet sur l'acidification des océans, mais aussi pour maîtriser la fin des ressources fossiles.
Mais comment réduire le taux de CO2 dans l'air ? Bien que non spécialiste, je me suis livré à une petite tentative de synthèse, en essayant de distinguer les solutions d'ordre technique de celles d'ordre politique. Les commentaires sont bienvenus, et seront pris en compte dans la mesure du possible.
1. Les solutions techniques.
Techniquement, il y a deux approches : réduire les émissions, ou augmenter la séquestration.
1.1 Première approche : réduire les émissions de CO2 en réduisant la combustion fossile
C'est la solution habituellement avancée notamment par les écologistes.
Le CO2 est principalement émis dans l'air par les combustions naturelles ou anthropiques : de bois, de gaz, de charbon, de pétrole. En ce qui concerne le gaz, le charbon et le pétrole, dont les stocks diminuent et sont très longs à rétablir de façon naturelle, la tendance est inéluctable. La question porte donc sur la nécessité ou non de ralentir notre utilisation, ce qui aurait en outre l'avantage de prolonger la durée de vie des techniques énergétiques basées sur ces combustibles.
Pour illustrer : si la capacité d'absorption de CO2 de la terre est de 50 unités par an, et que nous en émettons par combustion 100 par an, alors que notre stock de carburant est de 1000, alors nous allons émettre 100 par an pendant 10 ans, et le taux de CO2 va augmenter de 50 par an pendant 10 ans. Si nous réduisons notre combustion à 50 par an, alors pendant 20 ans, nous allons profiter de nos combustibles fossiles sans augmenter le taux de CO2 de l'air.
Mais comment réduire les émissions de CO2 ? Il y a plusieurs approches :
1.2 Seconde approche : augmenter la séquestration et l'enfouissement du CO2
Ces techniques, bien évidemment défendues par les pays pétroliers, consistent principalement à :
Mais au delà du captage du CO2 de l'air, il faut le stocker, sans qu'il ne risque de se libérer à nouveau trop rapidement. C'est la difficulté de l'approche. Plusieurs solutions sont à l'étude : stockage dans le fond des océans, ou stockage géologique.
2. Les solutions politiques
Plusieurs leviers sont possibles, visant à favoriser l'éclosion de tout ou partie des solutions précédentes.
2.1 Des mesures interventionnistes directes
J'en vois deux principales :
2.2 Des mesures indirectes pour orienter l'économie
J'en vois trois principales :
3. Conclusions
Les politiques ne doivent pas se faire aveugler par les bonnes intentions affichées qui cachent aussi d'énormes intérêts financiers, et rester garant de l'intérêt général. Et en l'occurrence, l'intérêt général, c'est :
Mais le problème est complexe car des enjeux géopolitiques et notamment celui de la place des pays industrialisés dans le monde futur ne doivent pas être ignorés : qui gérera l'énergie de demain ?