Dans un interview au Monde, Michel Rocard indique que pour lui, la crise ne sonne pas la fin du libéralisme, mais la fin de l'ultra-libéralisme.
Il plaide entre autres pour une meilleure régulation des monnaies à l'échelle mondiale.
Contrairement à ce qu'a fait le PS, il indique qu'il aurait "naturellement" voté pour le plan de soutien aux Banques de N. Sarkozy.